چکیده:
Le Moyen Âge est une époque obscure et contradictoire. On y voit une atmosphère ambigüe où rien n’est clairement définissable. À cause des immenses évolutions et modifications dans tout système social, politique, économique et historique, une sorte d’instabilité se sent dans les notions concernant la vie humaine, dont l’une c’est la femme et sa présence. En imagologie de la femme et de la féminité, on sent l’impression de voir une image entièrement floue qui ne donne aucune précision. Dans notre article, on relève cette obscurité grâce aux deux volumes de Roman de la Rose, écrits par deux auteurs ayant les pensées tout à fait contraires, le premier un courtois amoureux adorant toutes les beautés féminines, et le deuxième un clerc tout rigoureux, se moquant de la courtoisie et de l’amour envers la Dame. On y retrouve les oppositions des idées des auteurs, reflétant celles de leur société.
خلاصه ماشینی:
"Le premier auteur trace le chemin de l’amour, remarquant les valeurs de courtoisie et le second conduit l’Amant à la cueillette de La Rose en la dépassant et en lui enlevant ses illusions courtoises et en leur substituant un regard philosophique et naturel plus réaliste que celui de Guillaume de Lorris.
Dans son cheminement amoureux, le chevalier est confronté à des obstacles et des épreuves : le mari jaloux, l'éloignement de sa bien-aimée et sa rigidité, mais il lui faut être prêt même à mourir pour cette dame élue.
Ces derniers sont bien nécessaires et essentiels, car sans ceux-ci l’amour courtois devenait vulgaire et grossier, donc la courtoisie les exige à créer un amour tout différent de celui des gens ordinaires de cette époque-là.
La même fin que la première partie du roman, mais dans les circonstances tout à fait différentes, remarquant les qualités plutôt anti-féministes, ainsi l’auteur construit une figure contradictoire de l’amour, comme une satire de la courtoisie et de ses exigences.
On admire chez le premier une délicatesse du regard et du style, parfaitement compatible avec la finesse de femme et le raffinement de l’amour comme ses thèmes majeurs qu’il présente dans son volume, mais chez le deuxième « une vigueur, une élévation d'idées et une érudition, sous plume satirique et ironique » (De Lorris, De Meun, 2005, 130); au fait, il n'est pas un poète, donc, la grâce et l'élégance sont le moindre de ses soucis."