چکیده:
Le présent article propose, dans le cadre de l’autoformation des enseignants des universités, de se servir du questionnaire. L’évaluation faisant partie intégrale de toute formation, nous essayerons de présenter les apports du questionnaire à cet effet et son rôle dans la planification du cours. En effet, il s’agit de l’usage d’un même questionnaire à deux reprises dans le même cours, à la première et à la dernière séance, et son analyse, qui pourrait permettre, d’une part, l’auto-évaluation et de l’autre la réflexion didactique de l’enseignant ; les éléments sur lesquels s’appuie toute autoformation. D’ailleurs, cet outil d’enquête, familier de tous, dont nos collègues enseignants et chercheurs, présente des intérêts pédagogiques et psychologiques qui aideraient les enseignants dans l’amélioration du « processus » d’enseignement aboutissant à de meilleurs « résultats », et lui occasionnerait « un ménagement et un aménagement de l’espace de liberté ». (Puren, 1999, p. 4)
خلاصه ماشینی:
En effet, il s’agit de l’usage d’un même questionnaire à deux reprises dans le même cours, à la première et à la dernière séance, et son analyse, qui pourrait permettre, d’une part, l’auto-évaluation et de l’autrela réflexion didactique de l’enseignant ; les éléments sur lesquels s’appuie toute autoformation.
C’est sur quoi insistent également certains didacticiens de nos jours : « Le mode de formation le plus massivement utilisé en didactique des langues a sûrement été de tout temps l’autoformation permanente des enseignants à partir de questions qu’ils se posent à eux-mêmes dans leur pratique professionnelle et auxquelles ils cherchent des réponses ».
Nous allons, par le présent article, partager une expérience concernant l’usage du questionnaire dans un cours de master, Initiation à l’Interprétation, et faire part de ses apports pédagogiques qui nous ont convaincu de l’efficacité de cet outil, dans le cadre d’une réflexion didactique, dans le processus de l’autoformation ; car comme le signale Puren « la formation demeure un exercice fondé sur la réflexion »(1999, p.
Il y avait même la demande d'apprendre à « oser exprimer son opinion » ; ce qui montre qu’il existe cette pensée que l’un des obstacles pour pouvoir communiquer, c’est le manque de confiance en soi et que, pour les étudiants, les cours universitaires peuvent avoir comme vocation de travailler sur les aspects psychologiques d’enseignement/apprentissage.
Nous avons conclu des réponses que l’insuffisance de la connaissance langagière, dont les étudiants étaient eux-mêmes conscients, pouvais, malgré leur enthousiasme et désire pour la formation d’interprète, faire obstacle à ce parcours pédagogique et exercer un effet négatif sur leur motivation.