چکیده:
Les Trois contes de Flaubert constituent un recueil composé d‟Un coeur simple, de La Légende de Saint Julien L’Hospitalier et d‟Hérodias. L‟un des points communs dans ces trois contes est la mort. "Le point de vue" y forme une des caractéristiques intéressantes. Ses emplois variés nous conduisent à une étude de cette dimension de la narration par rapport à la mort. Pour présenter les pensées d‟une servante silencieuse dans Un coeur simple, le narrateur utilise la focalisation interne. Dans La Légende de Saint Julien, il n‟existe généralement pas de point de vue et dans les cas contraires, c‟est un narrateur omniscient qui assume le conte. Dans Hérodias, compte tenu de son caractère théâtral, c‟est la focalisation interne variable qui présente les pensées des personnages. Dans tous ces trois contes et surtout aux moments de la mort des personnages, c‟est la focalisation interne qui est souvent utilisée. Et c‟est la raison la plus forte qui nous a menés à faire cette étude par une analyse comparative.
خلاصه ماشینی:
Dans tous ces trois contes et surtout aux moments de la mort des personnages, c’est la focalisation interne qui est souvent utilisée.
De la même manière, dans ces trois contes, le point de vue adopté par Flaubert pour narrer la mort des personnages vise un effet particulier en rapport direct avec le thème dominant de ces contes.
Conclusion Les Trois contes de Flaubert sont en effet, trois contes de mort : dans Hérodias est mise en scène la mort de Jean le Baptiste; La Légende de Saint Julien L’Hospitalier porte sur l'appétit de prédateur de Julien dont la vie entière est traversée, d'abord, par des tueries, il décime les animaux qu'il trouvent dans les forêts environnants, ensuite, devenu un brave guerrier au service des princes, il défie la mort dans les batailles terribles, et finalement, devenu un ermite et après avoir reçu chez lui un lépreux misérable et égaré, il monte au ciel comme un saint ; et Un cœur simple, centré sur la vie d'une paysanne, Félicité, est rempli de la mort des êtres qu'elle chérit : son neveu Victor, la fille de sa patronne Virginie, sa patronne Mme Aubaine, son perroquet, et à la fin, sa propre mort.
Comme nous avons pu le démontrer, dans Hérodias où tout au long du conte, beaucoup de personnages parlent, où il y a des changements de points de vue, c'est la focalisation interne qui est dominante.