چکیده:
Dans le dernier cours de Roland Barthes: La Préparation du roman I et II, nous voyons des pages sur le haïku japonais comme étant à l’origine du roman. Barthes est initié à la littérature par cette forme «ultra- brève» et multiforme classée selon les saisons et assumant une renaissance romanesque. Chez Barthes, tout comme dans À la Recherche du temps perdu de Proust, la lecture et l’écriture sont liées. L’oeuvre proustienne se développe à partir d’un souvenir, d’une sensation et ne cesse de proliférer à partir de cet éphémère. Barthes confronte toutefois «l’instantané» du haïku court et protéiforme au «continu» du roman. Dans cet article nous voulons examiner comment Barthes s'inspire de la forme poétique du haïku et propose une nouvelle romanesque.
خلاصه ماشینی:
Haïku, poésie, roman Mots clés: , Introduction Toute époque, comme u caractérise parun style pa littérature est en effet le prod elle est de la sorte l’expr nouvelle oralité évoluant dan réel et sa représentation d occupent aussi l’esprit des artistes à travers les siècles et la renaissance de la pensée s’accompagne généralement de celle de l’écrit.
C’est en s’inspirant de ces écrivains que les critiques au vingtième siècle constituent leurs univers littéraires et si nous regardons de plus près La Préparation du roman barthésienne, nous observons que les autres sources poétiques, orientales, comme le haïku japonais génère aussi le « roman nouveau » ou cette « troisième forme » comme Barthes aime l’appeler chez Proust.
Des études ont été réalisées sur les rapports entre Barthes et le haïku comme celui de Ph. Forest cité dans la bibliographie de cette recherche jetant un regard sur toute l’œuvre barthésienne.
». Il faut aller vers le neuf, le français est comme toutes les autres langues et demande un « nouveau roman » ou une renaissance littéraire et nous ne pouvons en parler que par « saison » (Barthes, 2003: 65).
Le poème, l’autre-littérature, le texte sacré, assume la survie des lettres et son renouveau, c’est à travers celui-ci qu’il faut rechercher une renaissance de l’art d’écrire.
Barthes ne cesse aussi d’instaurer une relation entre ces deux sortes de textes que sont la Recherche et le haïku en retrouvant des thèmes communs : la Madeleine, les fleurs japonaises prenant formes dans le texte de Proust, etc.