چکیده:
Le Phénix est l’une des figures mythiques antiques qui se présente, de plus en plus, non seulement, dans la littérature mais aussi dans l’art et le cinéma contemporains. Ainsi, le Phénix ne représente-t-il pas uniquement un être grec ou égyptien, spécifique à l’espace hellénique. Il pourrait, par le phénomène de l’interculturalité, se présenter dans la plupart des cultures et des civilisations. Ce présent article a donc pour objectif d’étudier ce mythe ancien dans les poèmes de deux poètes du XXe siècle: Nima Youchij et Guillaume Apollinaire. Au cours de cette étude, nous essayerons d’abord de montrer l’influence que le symbolisme a exercé sur eux, ensuite, nous étudierons la reprise du mythe du phénix par ces deux poètes, et finalement nous nous occuperons d’une analyse de leurs poèmes concernant ce mythe selon une approche thématique et structurale.
خلاصه ماشینی:
"Alavi, Farideh * Le mythe du Phénix dans les poèmes de Nima Youchij et de Guillaume Apollinaire Maître de conférences à l’université de Téhéran, Téhéran, Iran Khameneh Bagheri, Tahereh ** Chargée d’enseignement à l’université Ferdowsi de Mashhad/ Doctorante à l’université de Téhéran, Téhéran, Iran Introduction «La littérature comparée est l’art méthodique, par la recherche de lien d’analogie, de parenté et d’influence, de rapprocher la littérature d’autres domaines de l’expression ou de la connaissance, ou bien les faits et textes littéraires entre eux, pourvu qu’ils appartiennent à plusieurs langues ou plusieurs cultures, fissent-elles partie d’une même tradition, afin de mieux les décrire, les comprendre et les goûter».
Il faut signaler que toutes les caractéristiques du mouvement symboliste européen ne se voient pas dans la poésie de Nima; et s’il est considéré comme un symboliste c’est seulement pour la qualité des images qu’il choisit pour ses poèmes.
- Par le biais du Phénix, cet oiseau légendaire, ces deux poètes expliquent leurs souffrances et leurs douleurs mais de deux manières différentes: Nima aborde les chagrins de son peuple et Apollinaire parle de ses propres tristesses.
Tous les oiseaux, réels ou fictifs, réduits à l’impuissance «Fraternisent avec la volante machine» (Apollinaire, 1965: 34) Dans ce même poème, le Phénix est associé au Christ, mais un Christ moderne qu’on voit monter au ciel comme un avion: C’est Dieu qui meurt le vendredi et ressuscite le dimanche C’est le Christ qui monte au ciel mieux que les aviateurs Il détient le record du monde pour la hauteur (Zone, v."