چکیده:
Etant la représentation gestuelle et orale d’une fiction, le théâtre possède un langage verbal et un langage non-verbal ou scénique. L’objectif de cette recherche est d’étudier le langage verbal dans deux pièces de théâtre appartenant à deux cultures différentes, Fin de partie de Beckett et Afra ou Le jour passe de Beyzaï. La première est considérée comme un exemple du nouveau théâtre dit théâtre de l’absurde dont l’auteur prétend mettre en cause et de nier les éléments traditionnels du théâtre occidental. La pièce de Beyzaï, elle aussi, peut être, à notre sens, considérée comme une pièce moderne dans la mesure où elle emprunte de la modernité des caractéristiques essentielles et elle est donc, de ce point de vue, comparable avec la pièce de Beckett. Pourtant, de l’autre côté, elle repose sur les fondements culturels traditionnels iraniens et n’a pas du tout la prétention de nier son passé. En adoptant une approche stylistique dans une lecture comparative, cette étude essaie donc d’analyser des similitudes et des différences entre ces deux pièces à travers les aspects langagiers et de voir comment et dans quelle mesure la pièce de Beyzaï peut se hausser comme exemple du théâtre de l’absurde.
خلاصه ماشینی:
Pourtant, de l’autre côté, elle repose sur les fondements culturels traditionnels iraniens et n’a pas du tout la prét e approche stylistique dans une lecture comparative, cette étude t des différences entre ces deux pièces à travers les aspects langag esure la pièce de Beyzaï peut se hausser comme exemple du théâtr Mots-clés: Fin de partie, Afra, B Introduction Le théâtre étant un genre distingue clairement du reste d par sa dualité qui lui est propre une partie textuelle et une représentation scénique.
Dans l’Histoire du théâtre, il y avait évidemment des représentations sans texte ou improvisée comme celle de la commedia dell’arte mais ces exemples sont rares et dans les autres cas, il existait toujours une pièce écrite par un dramaturge qui en était parfois aussi le metteur en scène.
Samuel Beckett n’était pas, lui non plus, négligent des ressources du langage et cette question occupe également une place particulière dans les critiques portées sur son œuvre.
D’autre part, Bahram Beyzaï est un dramaturge qui compose ses pièces basées sur des éléments des spectacles traditionnels orientaux et iraniens et parmi ces éléments, le langage, avec les racines dans la culture et l’histoire de l’Iran, jouant un rôle crucial.
Cela rsque l’un des personnages tre et ne lui permet pas de ans Fin de partie, c’est toujours Hamm (le marteau) qui est dans la position dominante et réprime Clov, Nagg et Nell (les trois clous): «Nagg.