چکیده:
L’affrontement entre le « bien » et le « mal » reste l’un des thèmes clés du dix-huitième siècle, époque à laquelle, Les Mille et une Nuits, chefd’oeuvre de la littérature persane, sont traduites. Nous retrouvons dans ces contes, celui du Portefaix et des trois dames pouvant être analysé grâce aux mots clés Dieu (« Allah ») et Satan (« Cheitan »). Ce récit simple, tout en s’inspirant de ceux du passé, se situe dans un cadre plus vaste qu’est celui de l’ensemble desMille et une Nuits. Nous pouvons y examiner les techniques de narration de l’auteur (à supprimer) faisant de ce récit un texte « simple, filial et désirable » comme le désigne Roland Barthes en comparant au passage les points de vue des auteurs, tels que Charles Mardrus, Jamaleddin Bencheikh et André Miquel. Ce conte des Mille et une Nuits, tout en montrant la victoire du bien sur le mal, met en relation les différentes classes sociales et montre comment l’écriture et le travail permettent d’accéder à la rédemption.
خلاصه ماشینی:
Ainsi dans le conte du Portefaix et des trois dames, nous allons étudier l’affrontement entre le bien et le mal, l’atmosphère orientale et les deux mots clés Dieu (« Allah ») et Satan (« Cheitan »).
Dans la note de l’édition de la Pléiade, nous voyons que cette expression mentionnée dans le livre est l’une des invocations à Dieu dans la première sourate du Coran, « texte » de référence pour tout musulman (Ibid.
, 105) Lors de l’étonnement comme à tout autre moment, c’est Dieu et sa volonté qui sont invoqués et la présence des expressions telles que 1 Charles Madrus utilise le mot « saâlik » pour désigner les mendiants et les nécessiteux dans sa traduction.
Nous pouvons voir la même chose dans l’Histoire du « troisième calender », il est alors seul dans le château et ouvre les chambres les unes après les autres, il déclare alors : « L’esprit en fête, je passai entre les arbres, humai les fleurs, écoutai les oiseaux qui reprenaient à l’envi la louange de Dieu unique et tout-puissant » (Les Mille et une Nuits, 126).
Ainsi, comme nous pouvons le voir, le mot Allah est omniprésent dans le texte et domine toutes les actions des personnages du récit.
Dans l’édition de la Pléiade, nous voyons le même mot à propos de la fille du roi qui est possédée par « Maymûn, fils de Damdam » (Les Mille et une Nuits, 100).